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*** w82 15/3 26-31 La lumière continue de croître sur le sentier des justes ***
La lumière continue de croître sur le sentier des justes
Quand celui qui domine sur les humains est juste (...), alors c’est comme la lumière du matin, quand le soleil paraît.” — II Sam. 23:3, 4.
SUR le sentier des justes, depuis les temps les plus reculés jusqu’à présent, la lumière n’a cessé de croître. Ceci est encore plus vrai depuis 1914, l’année mémorable où, comme les événements sur la terre l’ont montré, “le royaume du monde est devenu le royaume de notre Seigneur [Jéhovah] et de son Christ”. (Rév. 11:15.) La lumière de la Parole de Dieu a jailli, comme les rayons du soleil par “un matin sans nuages”, pour éclairer davantage encore le sentier que les serviteurs de Jéhovah doivent suivre. — II Sam. 23:3, 4.
2 Toutefois, certains ont trouvé que ce chemin n’allait pas toujours bien droit. Dans ses explications, l’organisation visible de Jéhovah s’est parfois reprise et a même donné l’impression de revenir à des points de vue antérieurs. Mais cette observation n’est pas tout à fait exacte. Prenons pour exemple ce que les marins appellent le “louvoyage”. Quand les vents sont contraires, ils manœuvrent les voiles de façon que le bateau aille tantôt à droite, tantôt à gauche, mais toujours en avançant vers le point d’arrivée. Pour les serviteurs de Jéhovah, ce but à atteindre, ce sont les “nouveaux cieux” et la “nouvelle terre” promis par Dieu. — II Pierre 3:13.
3 Il est hors de doute que Jéhovah Dieu continue de bénir l’ensemble de l’activité déployée par ses témoins sous la conduite de l’“esclave fidèle et avisé”. Les fruits produits en sont la preuve. Souvenez-vous en effet que Jésus a dit: “Tout bon arbre produit de beaux fruits.” Ces fruits de justice se rencontrent aujourd’hui dans le monde entier, mais au sein d’une catégorie de gens seulement: la société unie des Témoins de Jéhovah dans son ensemble. — Mat. 7:17.
4 Où que nous vivions, la Parole de Dieu continue d’être une lumière sur notre sentier et une lampe sur notre route, pour nous éclairer dans les domaines de la conduite et des croyances (Ps. 119:105). Mais Jéhovah Dieu a aussi donné son organisation visible, son “esclave fidèle et avisé” composé de chrétiens oints de l’esprit, dans le but d’aider les chrétiens de toutes les nations à bien comprendre la Bible et à bien l’appliquer dans leur vie. Si nous ne restons pas en contact avec ce canal dont Dieu se sert pour communiquer, nous aurons beau lire la Bible tant et plus, nous n’avancerons pas sur le chemin de la vie. — Voir Actes 8:30-40.
5 Parlant du canal de communication utilisé par Dieu, Jésus déclara que l’“esclave fidèle et avisé” procurerait la nourriture spirituelle en temps voulu à tous les disciples, et que le Maître établirait cet “esclave” sur tout son avoir (Mat. 24:45-47). Notons encore que, selon les paroles de Paul en Éphésiens 4:11-16, la congrégation chrétienne n’avait pas seulement besoin d’instruments divinement inspirés tels que des apôtres et des prophètes, mais aussi d’évangélisateurs, de bergers et d’enseignants, pour aider les chrétiens à atteindre l’unité dans la foi et dans la connaissance exacte du Fils de Dieu, et pour acquérir la pleine maturité spirituelle. — Voir aussi I Corinthiens 1:10; Philippiens 1:9-11.
6 Jéhovah Dieu a bel et bien utilisé cet “esclave fidèle et avisé” associé aux Témoins de Jéhovah pour guider affermir et diriger son peuple. Certes, étant donné que la lumière ne prend de l’éclat que progressivement, et aussi à cause des erreurs dues à l’imperfection et aux faiblesses humaines, ces chrétiens ont parfois été obligés de revoir leur point de vue et leur enseignement. Mais ces corrections ne sont-elles pas allées pour eux dans le sens d’un affinement? Voyons quelques exemples.
LA RÉDEMPTION ET LE NOM DE JÉHOVAH
7 En 1878, Charles Russell, qui devint plus tard le premier président de la Société Watch Tower, rompit ses relations avec N. Barbour, coéditeur du Messager du matin, à cause de la question de la rédemption. Barbour ne voulait pas croire au pouvoir du sacrifice de Jésus d’ôter les péchés. Pendant des années, les Étudiants de la Bible, comme ces témoins de Jéhovah s’appelaient à l’époque, considérèrent la rédemption comme l’enseignement central de la Bible. Effectivement, la Parole de Dieu met incontestablement l’accent sur le salut par la foi dans la rançon versée par Christ (Jean 3:16; Actes 4:12; Héb. 5:9; Rév. 7:10). Le sacrifice rédempteur de Jésus fut préfiguré par le geste d’Abraham offrant Isaac et par les sacrifices de la Loi mosaïque, et annoncé par les prophètes. Aussi les Étudiants de la Bible mirent-ils beaucoup l’accent sur ce que Jésus Christ a fait pour l’humanité. — Luc 24:25-27, 44.
8 Cependant, la Bible montre qu’il y a quelque chose de bien plus important que notre salut personnel. C’est la grande question de la souveraineté universelle de Jéhovah, que Satan a contestée lors de la rébellion en Éden (Gen. 3:15; I Cor. 15:24, 25; Rév. 11:15; 12:10). Ce litige exige que Jéhovah justifie son nom, et, en fait, toute la Bible, de la Genèse à la Révélation, est axée sur le seul thème du Royaume messianique, qui exaltera et justifiera pour toujours le glorieux nom divin. D’ailleurs, en lisant les Écritures, on rencontre à peu près 75 fois cette déclaration divine: “Ils sauront que je suis Jéhovah.” Les témoins de Dieu apprirent par la suite que ses créatures pouvaient faire valoir dans leurs supplications le fait que son nom était en cause, et ils comprirent que “quiconque invoque le nom de Jéhovah sera sauvé”. (Rom. 10:13; Joël 2:32; Soph. 3:9.) Pendant quelques années, les Témoins de Jéhovah insistèrent tant sur le nom de Dieu et sur sa justification que leurs détracteurs les accusèrent de ne pas croire en Jésus Christ. Mais cela venait tout au plus du fait que l’on s’était peut-être trop appesanti sur le nom de Dieu. Comme les lecteurs de La Tour de Garde ont pu s’en rendre compte au cours des dernières décades, les témoins chrétiens de Jéhovah ont rendu hommage au rôle de Jésus dans l’accomplissement des desseins divins. La Parole prophétique de Jéhovah attire d’ailleurs bien l’attention sur Jésus comme sur le ‘principal Instrument du salut’. — Héb. 2:10; 12:2; Rév. 19:10.
9 On pourrait dire que de tels rajustements obéissent à un principe qui régirait aussi la recherche de la vérité dans le domaine scientifique. En bref, voilà à peu près comment les choses se passent: On commence par émettre une proposition qui va être débattue. Cette théorie porte en elle un grand potentiel de connaissances nouvelles et d’applications pratiques. Mais, avec le temps, on lui trouve des failles ou des points faibles. On penche alors pour une contre-proposition qui va à l’autre extrême. Plus tard, il apparaît que cette deuxième théorie ne rend pas non plus compte de toute la vérité. Par conséquent, on regroupe tout ce qu’il y a de bon dans les deux théories. Ce principe s’est appliqué à plusieurs reprises dans la réalisation de Proverbes 4:18.
CONDUITE ET PRÉDICATION
10 Prenons un autre exemple de compréhension progressive. Pendant une quarantaine d’années, les Étudiants de la Bible ont souligné l’importance de cultiver une belle personnalité chrétienne, ce qu’on a appelé le “développement du caractère”. On a d’autant plus insisté sur cette nécessité que la chrétienté la négligeait. On reconnaissait que les chrétiens doivent aussi porter témoignage en parlant des desseins de Dieu, mais cela passait plus ou moins au second rang. Puis, quand le peuple de Dieu comprit l’importance du nom de Jéhovah et le devoir de témoigner pour son nom et son Royaume, on mit l’accent sur cette nouvelle obligation et on prêta moins attention à la personnalité chrétienne. On disait que Jésus était d’abord venu pour rendre témoignage, et que c’était la prédication qui comptait. Il fallut donc trouver un équilibre entre les deux tendances. — Rom. 10:10; Gal. 5:22, 23.
11 Cet heureux équilibre, les vrais chrétiens finirent par l’atteindre. Ils comprirent qu’ils avaient à la fois besoin de cultiver le fruit de l’esprit de Dieu et de témoigner fidèlement et sans crainte pour Jéhovah. Ces deux exigences sont également importantes. On ne peut négliger l’une sous prétexte de remplir l’autre. L’apôtre Paul écrivit: “Malheur à moi si je n’annonce pas la bonne nouvelle!” Mais il écrivit aussi: “Mon corps, je le bourre de coups et je l’emmène comme esclave, de peur qu’après avoir prêché aux autres, je ne devienne moi-même, d’une façon ou d’une autre, un homme désapprouvé.” — I Cor. 9:16, 27.
LA SOUMISSION AUX AUTORITÉS SUPÉRIEURES
12 La recherche d’une compréhension exacte de Romains 13:1-7 fournit un autre exemple de “navigation” vers le point de vue juste. Les premiers Étudiants de la Bible prirent très justement les expressions “puissances supérieures” ou “autorités supérieures” au sens de chefs gouvernementaux du monde (voir la Bible de Glaire et la Traduction du monde Nouveau). Ils en conclurent que si un chrétien était appelé sous les drapeaux en temps de guerre, il devait servir dans l’armée, revêtir l’uniforme et aller au front. On convenait seulement qu’il pouvait tirer en l’air pour ne pas tuer son prochain.
13 Mais il était évident que l’apôtre Paul ne pouvait pas recommander une pareille attitude. La question se posa donc: Les “puissances supérieures” ne seraient-elles pas Jéhovah Dieu et Jésus Christ? Pendant un temps, les serviteurs de Dieu l’ont cru. Durant les années mouvementées de la Seconde Guerre mondiale, ce point de vue eut au moins l’avantage de leur donner la force d’“obéir à Dieu, comme à un chef, plutôt qu’aux hommes”. Les Témoins de Jéhovah donnèrent ainsi sur toute la terre un merveilleux exemple de courageuse neutralité chrétienne (Actes 5:28, 29). Jamais on n’a mis en doute le fait que les chrétiens doivent d’abord se soumettre au Souverain Seigneur Jéhovah et à son Roi messianique, Jésus Christ. Mais ces derniers sont-ils les “autorités supérieures” à qui nous devons ‘l’impôt, le tribut et l’honneur’? — Rom. 13:7.
14 En 1962, Jéhovah fit comprendre à son peuple le principe de la soumission relative. On comprit que les chrétiens qui se sont voués à Dieu doivent obéir aux chefs séculiers en les considérant comme des “autorités supérieures” et en les reconnaissant volontiers comme un “ministre” ou un serviteur de Dieu pour leur bien (Rom. 13:4). Mais que faut-il faire si ces autorités demandent de transgresser les lois de Dieu? Jusque-là, les chrétiens ont obéi au commandement de Romains 13:1, qui dit: “Que toute âme soit soumise aux autorités supérieures.” Mais cet ordre est à comprendre à la lumière des paroles de Jésus rapportées en Matthieu 22:21, ou nous lisons: “Rendez donc les choses de César à César, mais les choses de Dieu à Dieu.” Par conséquent, chaque fois que “César” demande aux chrétiens de désobéir à la volonté de Dieu, ceux-ci doivent faire passer la loi de Dieu avant celle de “César”. C’est le contraire de ce qui se fait généralement dans la chrétienté. Nombre de soi-disant chrétiens n’ont aucun scrupule à transgresser les lois de Dieu quand César le leur demande. Un patriote s’est même exclamé: “Vive notre pays! (...) qu’il ait toujours raison! Et même s’il avait tort, vive notre pays quand même!” Les témoins chrétiens de Jéhovah ne raisonnent pas ainsi. Lorsqu’on leur ordonne de passer outre à la volonté de Dieu, ils reprennent les paroles des apôtres de Jésus, qui ont dit: “On doit obéir à Dieu, comme à un chef, plutôt qu’aux hommes.” — Actes 5:29.
QUI EST “MINISTRE”?
15 Citons une autre question sur laquelle la lumière s’est faite progressivement: celle de savoir si tous les chrétiens, hommes et femmes, jeunes et vieux, qui se sont voués à Dieu en toute sincérité, sont des ministres. Pendant de nombreuses années, les Témoins de Jéhovah ont pensé que tous ceux qui se repentaient, qui se convertissaient, qui exerçaient la foi en Dieu, qui se vouaient à lui pour faire sa volonté telle que Christ l’a révélée, et qui se faisaient baptiser, étaient des ministres. Mais certains soulevèrent finalement des objections. Souvent, les autorités gouvernementales ne comprenaient pas cette prétention. On objecta aussi que beaucoup de langues n’avaient pas d’équivalent pour le mot “ministre” et que ceux qui disposaient de ce terme dans leur langue ne devaient donc pas l’utiliser dans son sens religieux. Enfin, on a dit que le baptême n’était pas une cérémonie d’ordination valide Mais étaient-ce là des raisons valables pour restreindre l’emploi du terme “ministre” à ceux qui ont reçu une charge dans la congrégation, c’est-à-dire aux anciens et aux “diacres” ou serviteurs ministériels?
16 En fait, la loi laisse généralement à chaque organisation religieuse du pays le droit de déterminer elle-même à quelle condition l’un de ses membres peut devenir ministre. Il importe peu que ceux du dehors ne comprennent pas ou n’approuvent pas l’attitude adoptée. Il n’importe pas davantage que de nombreuses langues n’aient pas d’équivalent pour le mot “ministre”. Cela ne devrait pas empêcher ceux qui disposent de ce terme dans leur langue — les Anglais, les Italiens, les Espagnols, etc. — de l’employer à bon escient.
17 Le terme “ministre” est utile, car il sert à désigner
un “serviteur” d’un genre particulier, un serviteur qui a reçu une affectation spéciale et élevée. Quels que soient son âge et son sexe, la personne qui est capable de démontrer qu’elle a une bonne intelligence de la volonté et des desseins de Dieu à l’égard de l’humanité, qui a conformé sa vie aux principes bibliques et qui s’est vouée à Dieu et s’est fait baptiser en obéissance à l’ordre de Jésus rapporté en Matthieu 28:19, 20, cette personne est un ministre de Dieu à part entière. On peut même dire qu’elle est plus qualifiée pour parler de Dieu que n’importe quel étudiant sorti d’un séminaire, mais qui ne comprend pas les desseins de Dieu et qui n’a peut-être pas conformé sa vie aux justes exigences divines. Ceux qui servent vraiment Dieu peuvent donc dire avec l’apôtre Paul: “Je glorifie mon ministère.” — Rom. 11:13.
18 Il faut souligner que le mot “ministre” n’est pas un titre, mais un qualificatif (voir Matthieu 20:28). Remplir les conditions requises pour se faire baptiser comme serviteur de Jéhovah Dieu ne suffit pas. L’individu doit faire de son ministère, de son service sacré pour Jéhovah Dieu, son but principal dans la vie. S’il n’agit pas ainsi, il ne peut pas se dire ministre de Dieu ni être considéré comme tel par les autres, peu importe combien de temps il est capable de consacrer à son ministère du fait de conditions qui échappent à sa volonté. — Rom. 12:1; II Tim. 4:5.
19 Bien sûr, cette progression “louvoyante”, pourrait-on dire, de la compréhension a souvent mis à l’épreuve la fidélité des compagnons de l’“esclave fidèle et avisé”. Néanmoins, ceux-ci continuent de progresser vers une meilleure intelligence de la “bonne nouvelle” et de tout ce qu’elle représente. Ceux qui restent en contact étroit avec l’organisation de Dieu se sont rendu compte que ce qui semble difficile à comprendre finit toujours par s’éclaircir. À mesure que la lumière croît, que de réconfort et de satisfaction ils trouvent sur leur chemin! Comme Pierre l’a dit après que certains disciples de Jésus eurent trébuché à cause de son enseignement, “Seigneur, à qui irions-nous? Tu as des paroles de vie éternelle”. (Jean 6:68.) Le Seigneur Jésus Christ a toujours ces “paroles”, et il les communique par l’intermédiaire de la seule organisation qu’il utilise aujourd’hui sur la terre, celle de l’“esclave fidèle et avisé”. Cette organisation ressemble au “bon arbre” au sujet duquel Jésus déclara qu’il produit de “beaux fruits”. (Mat. 7:17.) Si nous rejetons cette organisation, nous n’avons d’autre solution que de nous associer à la “bête sauvage” politique de Satan et à “Babylone la Grande”, l’empire mondial de la fausse religion (Rév. 13:1; 17:5). Mais aucun chrétien voué à Dieu ne voudra retourner à ces éléments-là. — II Pierre 2:22; Jean 14:6.
20 Oui, “la lumière est apparue pour le juste”. (Ps. 97:11.) Proverbes 4:18 s’est réalisé, car le “sentier des justes” est bien comme une lumière qui devient de plus en plus claire. Si parfois l’organisation opère certains rajustements, il en résulte toujours une amélioration. L’affinement n’a pas été vain. Maintenant que Christ règne, les explications que le peuple de Jéhovah reçoit sont comme “la lumière du matin, quand le soleil paraît”. (II Sam. 23:3, 4; Mat. 25:31.) Tous ceux qui collaborent fidèlement avec l’organisation de l’“esclave fidèle et avisé”, le moyen visible de communication que Jéhovah emploie, ont un grand privilège. Ils ont fait un choix sage, car leur sentier conduit au but inestimable de la vie éternelle dans l’ordre nouveau que Jéhovah est en train de créer. — És. 65:17, 18; 66:22.
[Notes]
On la rencontre une soixantaine de fois rien que dans le livre d’Ézéchiel. Elle apparaît aussi en Exode 6:7; Deutéronome 29:6; Ésaïe 49:23; Joël 3:17, et dans d’autres textes.
On a appelé ces différentes démarches la thèse (proposition), l’antithèse (proposition contraire) et la synthèse (combinaison des deux).
[Questions d’étude]
1. Selon II Samuel 23:3, 4, à quoi peut-on s’attendre? Cela s’est-il réalisé?
2. Comment faut-il considérer les corrections que l’organisation visible de Jéhovah apporte périodiquement dans son point de vue?
3. Quelle preuve avons-nous que Jéhovah continue de bénir ses témoins?
4, 5. Outre sa Parole inspirée, de quel instrument Jéhovah Dieu s’est-il servi pour guider son peuple?
6. Quels facteurs ont obligé l’“esclave fidèle et avisé” à réviser parfois son point de vue?
7. Pourquoi les Étudiants de la Bible ont-ils accordé tant d’importance à la doctrine de la rédemption? Sur quoi se basaient-ils?
8. a) À quoi a-t-on ensuite accordé plus d’importance? b) À quelle situation cela a-t-il abouti? Quel rajustement a-t-on opéré par la suite?
9. Quel principe qui régit le progrès de la connaissance scientifique semble s’être vérifié dans le domaine biblique?
10, 11. Quelles deux attitudes a-t-on préconisées tour à tour? Quel résultat a-t-on finalement obtenu?
12, 13. a) Comment considérait-on les “puissances supérieures” de Romains 13:1? b) À quel autre extrême cette opinion a-t-elle conduit? Quel avantage cela a-t-il manifestement eu?
14. Comment la question de la soumission aux autorités gouvernementales est-elle finalement apparue sous son vrai jour?
15, 16. a) Qui a-t-on longtemps considérés comme ministres de Dieu? b) Quelle correction a-t-on faite? Pourquoi? c) Qu’est-ce qui n’allait pas dans cette correction?
17, 18 Qui mérite le nom de “ministres”? Comment doivent-ils considérer leur “ministère”?
19. a) Quel effet a eu ce développement progressif de la compréhension? Quelle récompense les fidèles ont-ils reçue? b) Par quel moyen Jéhovah dispense-t-il la nourriture spirituelle? Pourquoi ne devons-nous jamais nous écarter de ce moyen utilisé par Dieu?
20. a) Pourquoi pouvons-nous mettre plus que jamais notre confiance dans la “lumière”? b) Quel avenir heureux attend ceux qui choisissent de marcher sur le sentier où la lumière grandit?
[Encadré, page 31]
Par l’étude et l’expérience, les serviteurs de Jéhovah ont acquis le point de vue juste sur les questions suivantes:
La justification du nom de Jéhovah est plus importante que le salut de ses créatures.
Il est tout aussi important de témoigner avec zèle que de cultiver les fruits de l’esprit.
La soumission du chrétien aux autorités séculières est une soumission relative.
Quoi qu’en pensent les autres, ils sont des ministres, de dignes représentants de Jéhovah.
[Illustration, page 27]